Lettres d’Histoires-de-Paris.fr
Les lettres mensuelles d’Histoires-de-Paris.fr
Tous les mois partons ensemble à la découverte des histoires de Paris !
Voici les différents numéros de la lettre ! Bonne lecture sur Histoires-de-Paris.fr
La beauté et la vanité du hameau de la reine
Direction Versailles ! Son domaine, ses jardins ! Le petit Trianon ! Le hameau de la reine.
Nous sommes alors au temps des résidences champêtres. Marie Antoinette suit et renforce la mode avec son magnifique domaine de Trianon.
Mais, cette fois-ci, nous vous proposons de nous y promener ensemble, en dépassant les mythes, tout en se laissant émerveiller par la beauté des lieux et du hameau en particulier.
Qui a dit que le romantisme remontait au XIXe siècle ? Et s’il avait commencé plus tôt ?
L’histoire complexe et fascinante des moulins de Montparnasse
Contrairement aux idées reçues, il n’y avait pas des moulins seulement à Montmartre. A Montparnasse aussi, on en trouvait à Montparnasse et ils accueillaient des guinguettes.
Comme pour Montmartre, ces moulins racontent les histoires de cette campagne encore verdoyante antérieure à l’avancée de Paris.
Les guinguettes des moulins
Les guinguettes, voici un thème que nous aimons particulièrement sur Histoires-de-Paris.fr.
Les plus anciens des abonnés de cette lettre se souviennent peut être de son édition sur les guinguettes des barrières.
Mais, il n’y avait pas que de l’autre côté des barrières qu’on pouvait profiter des guinguettes. A compter de la fin du XVIIIe siècle, des meuniers se rendirent compte qu’il était beaucoup plus rentable pour eux d’ouvrir un cabaret à leur pied.
Le règne chahuté des bateaux-lavoirs
Les berges de Seine sont si belles dès que le beau temps est là !
Toutefois, à regarder le calme dans l’eau, il est bien difficile de s’imaginer le foisonnement qu’il y avait là, encore à la fin du XIXe siècle.
Les lessiveuses et blanchisseuses y venaient en nombre, pour utiliser les installations des bateaux-lavoirs.
Cette activité n’y était pas si ancienne – il avait fallu attendre l’urbanisation de l’île Saint Louis pour qu’on y place le premier bateau-lavoir. Mais les affaires prirent et les parisiennes y trouvèrent vite une forte utilité.
Le patinage au Bois de Boulogne
L’hiver vient ! Il est là imanquablement. Dans la lettre d’Histoires de Paris, nous étions déjà intéressé aux grands hivers. Ceux dont le froid est total, plus ou moins long, plus ou moins intense… lorsque la Seine pouvait geler.
Dans cette lettre, restons dans la thématique de la glace. Mais une glace joyeuse où les parisiens prenaient beaucoup de plaisir à sortir : celle du lac du Bois de Boulogne où on s’empressait d’aller patinage quand elle était suffisamment épaisse.
La vigne de Montmartre
Sur les hauteurs de Montmartre, on produisait du vin.
Le vin y aurait été d’une grande qualité. Mais avec le temps, sa réputation devient de plus en plus mauvaise.
En tout état de cause, il désaltère les soifs des promeneurs de la Butte au XIXe siècle, dans les différentes guinguettes au pied des moulins.
Dans les années 1930, on décide de restaurer la vigne : le clos Montmartre.
Les origines de la statue de la République
En cette époque, où les statues sont redevenues sur le devant de la scène après plusieurs années de silence, celle de la République tient une place particulière.
Bien sûr, elle symbolise notre régime démocratique et ne risque pas à court terme de disparaître.
Mais il est frappant de voir comment sa place à évoluer avant de servir de mémorial pour les attentats de 2015.
C’est l’objet de cette lettre que nous vous proposons après un an d’absence !
Les magasins de nouveautés de la rue de Rivoli
En 1853, la rue de Rivoli est prolongée pour relier le Louvre à la Bastille. Là, proche du pouvoir, une nouvelle mode de boutiques s’installe : les magasins de nouveautés.
Avec des fortes campagnes de publicités, ils promettent des vêtements à prix fixés à l’avance et la possibilité de venir flâner dans les rayons sans obligation d’achat.
Les énigmes des rues de Paris
En plein dans les travaux de transformation par le baron Haussmann, qu‘Edouard Fournier vient s’intéresser aux énigmes des rues de Paris, dont certaines disparaissent alors.
Au fil de nombreuses anecdotes, il propose en quelque sorte des promenades par quartiers : autour de la place des Victoires, pour s’attarder près du Louvre, puis aux Champs Elysées.
Les anciens moulins de Montmartre
“Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître”. En fait, bien plus longtemps encore : lorsque Montmartre vivait au fil de ses moulins.
Au XVIIIe siècle, on comptait au moins 8 moulins sur les hauteurs de la butte. En réalité, ils étaient 25 sur toutes les collines du nord de Paris.
La police au Moyen Age
Comment était organisée la police ? Qui la rendait ? Au nom de qui ?
Vous verrez qu’il s’agit d’un sujet bien compliqué car Paris s’est agrandie beaucoup plus vite que son organisation s’est adaptée.
Les ruines de Paris en 4908
Voici le titre d’un roman d’anticipation écrit à la fin du XIXe siècle. Un très sérieux directeur de bibliothèque, Alfred Franklin, imagina le retour à Paris d’un groupe d’explorateurs.
Venus de Nouméa, ils revenaient sur les traces de leurs ancêtres, dans l’ancienne capital, totalement dévastée par une catastrophe gigantesque
Découvrir le numéro
L’île de la Cité au XVIIIe siècle
Il est d’usage de dire que les travaux d’Hausmann ont totalement refondu l’île de la Cité. C’est vrai!
Mais cette transformation avait commencé bien plus tôt ! Avant la Révolution en réalité.
Le quartier était encore très dense. Mais les ponts voient leur physionomie changer : on supprime les ponts des maisons. L’île comptait alors un nombre de clochers impressionnants : certains commencent à être détruits.
Les étés parisiens
Voici l’été ! Curieux paradoxe, belle saison au cours de laquelle les parisiens la fuient.
Reprenons un peu de recul sur cette saison, qui depuis longtemps concentre la chaleur entre juillet et août.
Même si la tendance est à l’accélération du réchauffement, les étés se suivent et ne se ressemblent. Certains sont chauds, avec des moyennes à 25°C. D’autres sont bien plus froids, avec des moyennes à 15°C.
Le mur des fermiers généraux
“Le mur murant Paris rend Paris murmurant.” Cette célèbre phrase de Beaumarchais donne particulièrement le ton et l’ambiance qui régnait en 1780. Un nouveau mur entoure Paris. Cela faisait plus d’un siècle que ce n’était pas arrivé. Et ce n’est en raison de menaces extérieures mais pour mieux prélever les taxes.
Avec ce nouveau mur, les limites de Paris sont fortement repoussées. On fit alors appel à Claude Nicolas Ledoux pour construire les barrières.
Les visites populaires à la morgue
Chose étonnante pour nous, nos devanciers du Paris du XIXe siècle se précipitaient à la morgue lorsqu’un fait divers attirait l’attention des chroniques.
Poussés par la curiosité, ils profitaient de l’ouverture de ce bâtiment lugubre, situé derrière Notre Dame pour voir ce dont tout le monde parlait.
Jusqu’à 100 000 personnes venaient là !
Le Parc de Saint Cloud
Même si le château de Saint Cloud a disparu, sous les bombes des prussiens et la volonté des républicains de faire disparaître les traces des anciens régimes, le parc de Saint Cloud subsiste.
Ici, le promeneur peut dominer la Seine, tout en profitant de différents espaces magnifiques, laissés par les différents jardins qui se succédèrent entre la Renaissance et le XIXe siècle
Les insultes scénarisées de Mardi Gras
On le sait plus ou moins, mais Paris fut longtemps célèbre pour son carnaval, notamment au XIXe siècle. Juste avant le carême, et encore davantage lors de mardi gras, les rues étaient envahies par les masques… qui s’insultaient selon des codes bien précis.
Redécouvrons ensemble ces grands moments du carnaval et plus précisément sur ces invectives étonnantes.
Le Parc Monceau avant le Parc Monceau
Nous partons à la découverte de l’ancêtre du Parc Monceau : le jardin du duc de Chartres. Ici, ce prince, cousin du roi Louis XVI, se fit construire un magnifique domaine au nord de Paris dans les années 1770. A la mode d’alors : un jardin à l’anglaise, avec ses imitations de nature et ses nombreuses curiosités.
Récit d’un Paris démoli
Dés le début des grands travaux d’Haussmann, un historien tout juste arrivé commence à s’intéresser au Paris qu’on transforme alors. Edouard Fournier, en effet, venait pas si loin que ça : Orléans et le Loiret.
Ainsi, il publie Paris démoli en 1853.
La Tour Saint Jacques
Édifiée en 1508 et 1522, elle sert tout d’abord de clocher pour l’église Saint Jacques la Boucherie.
Portée par le courant romantique mettant en valeur l’art gothique, elle est isolée des autres bâtiments et restaurée au cours du XIXe siècle
Les débuts de l’automobile aux Ternes
Entre l’Etoile et la Porte Maillot, le quartier des Ternes voit une véritable foisonnement d’innovations autour de l’automobile en 1900. Des grands noms s’y lancent comme Armand Peugeot, de Dion et Bouton…
Certes, ce quartier n’est pas le seul berceau de l’automobile française, mais cette histoire a laissé de nombreuses traces. Peugeot y avait son siège social jusqu’à peu et on trouve aux Ternes encore de nombreuses boutiques autour des voitures
Le commerce sur la Seine
Fluctuat net mergitur ! La devise de Paris vient du lien originel de la ville avec son fleuve.
En effet, pendant de très nombreux siècles, Paris fut approvisionnée par le commerce fluvial. Davantage que par la route !
La canicule à Paris
Bien sûr, avec le réchauffement climatique, les canicules reviennent très souvent et s’intensifient. Certains nous prédisent des températures insupportables dans 30 ans.
Par le passé, Paris connut des épisodes très chauds. Retour en images et en histoires !
Cour des miracles
La cour des miracles et ses légendes. Ici encore, nous marchons sur les traces de Victor Hugo et de Notre Dame de Paris.
Partons ensemble à la découverte de ce lieu mythique, sa population et ses légendes.
Les eaux de Belleville
Sur la colline de Belleville, pendant longtemps, on récupéra l’eau pour alimenter la ville. Allons à la découverte de ses traces.
Les romains en premier furent à l’origine du captage des eaux de cet endroit. Au Moyen Age, les abbayes prirent le relais, avant que les parisiens ne préfèrent l’eau de la Seine
Les grands hivers
Entre décembre et février ! Voici comment sur la base des températures historiques, on peut résumer l’hiver.
Loin de nos hivers plutôt doux, certains ont été très durs à Paris. Quelques dates ont été mémorables.
Montfaucon, son gibet, son industrie
Près de la place Colonel Fabien, se tenait un lieu de sinistre mémoire : Montfaucon !
Tous les lecteurs de Notre de Dame de Paris se rappellent la fin mémorable, du livre et de ses protagonistes, au pied du célèbre gibet.
La crue de la Seine
Dans une cuvette, Paris se situe en aval des principaux affluents de la Seine. Seule l’Oise rejoint le fleuve après. Cette position privilégiée lui a permis de développer son commerce fluvial, mais l’a aussi fortement exposée aux furies du fleuve
Mardi gras et le Carnaval de Paris
Mardi gras était ce mois. Revenons sur cet événement et comment il a été fêté dans l’histoire : Paris disposait jusqu’au XIXe siècle d’un des plus grands carnaval du monde.
Le parc des Buttes Chaumont
Il y a 150 ans pour l’exposition universelle de 1867, un magnifique parc à l’anglaise fut construit, signé par le maître parisien en la matière : Adolphe Alphand. dans l’est parisien.
Les premières salles de théâtre
C’est avec la Renaissance en général et au XVIe siècle en particulier que les premières salles de théâtre à Paris apparaissent : elles montraient des farces principalement
Le boulevard du Crime
Ici, sur le Boulevard du Temple, chaque soir, crimes et meurtres se déroulaient devant les spectateurs heureux…
Le canal Saint Martin
Aujourd’hui lieu de promenade,le canal Saint Martin fut construit pour dévier une partie des bateaux de la Seine
Les églises disparues de Paris
La vieille vielle était recouverte de clochers, en particulier l’île de la Cité. Pour la plupart, elles ne survécurent pas à la Révolution et aux grands aménagements de Paris au XIXe siècle
Le pont neuf
Un pont c’est un passage. Entre deux rives : la riche et la pauvre… Entre deux temps : la Renaissance et le XVIIe siècle… Entre deux dynasties : les Valois et les Bourbons
Les ponts parisiens
37 ponts pour traverser la Seine
Essentiels pour la circulation, ils se développèrent au même rythme que la ville.
Les guinguettes populaires du XIXe siècle
Restaurants, bals, marchands de vins s’étaient installés face aux barrières de Paris.
Ici vous pouviez manger et boire à un bon prix, à l’abri de l’octroi.
Les foires au XVIIIe siècle
Héritées du Moyen Age, elles rythmaient une certaine activité commerciale. Avec le temps, elles perdirent leur attrait commercial en se focalisant sur la vie courante, mais leur liberté fit éclore les spectacles du XVIIIe siècle : les marionnettes, l’Opéra Comique..
Les expositions universelles
5 grandes expositions qui marquèrent les mémoires.
Portes drapeaux de la modernité et l’universalismeelles furent voulues par les différents régimes en place.
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